La foule était dense ce matin la, et les discutions allaient bon train. La place était bondée et Aryon eu du mal tout d'abord à s'y faufiler, puis à retrouver ses repères. Les habitants qui l'entouraient ne lui prétaient gère d'attention, à part peux être un passant un peux trop pressé, qui lui fit des excuses pour l'avoir bousculer.
Il se dirigea vers le centre de la place espérant trouver un point pour observer les allentours. Sinon, il serait bien obliger de demander de l'aide à quelqu'un.
Il se remémora toutes les épreuves qu'il avait vécu depuis son départ si précipité, pour fuir ses terre natales et les dangers qui le guettaient: Tout d'abord son débarquement sur les côtes de la mer d'Eliosa où il rencontra Tom, sans qui il n'aurait pu trouver son chemin vers le village le plus proche. Puis la traversée des ces vastes terre, à pied, car le peux d'argent à sa disposition ne lui permettait pas d'acheter une monture. Ces longues journée de marche l'avaient rompu: Les privations, l'effort physique et les conditions climatiques l'avaient affaiblit plus qu'il ne s'en aurait douté. Même son armure, autrefois brillante et scintillante, était noircie par la poussière et la boue.
Et enfin son arrivée annonyme à la capitale, au terme d'un long périple.
Il s'était apperçut au cours de ce voyage, à quel point le pays était ravagé par le chaos... Il traversa plusieurs fois des villages dévasté, où les cendres des batisses servait d'engrais aux ronces les ayant recouvert. Par deux fois, des brigands lui tendirent une ambuscade le long de la route, et part deux fois il dût se battre pour défendre sa vie et ses biens. Il croisait très souvents des villageois au regard vidé de toute vie, vaincus par le manque de nourriture ou abatus par ce destin cruel qui était désormais le leur: lutter pour survivre.
Il atteignit enfin le centre de la place, bien plus bondée que les allée qui y menait. Auncune indications n'étaient visible, aussi Aryon se résignat à demander de l'aide, chose qu'il ne fesait que très rarement.
Interpelant un passant, il lui demanda:
-Bonjours. Pouriez-vous me venir en aide?